Du 3 août 1793 (incarcération à la Conciergerie) au 16 octobre 1793 (Marie-Antoinette est guillotinée)
Pendant ces jours d'incarcération, d’interrogatoires et de procès, Marie-Antoinette se souvient des jours heureux, puis du flot de haine qu'elle a suscité. Elle ira jusqu'au bout "à la bravade", sans comprendre comment sa mort, après avoir subi tous les outrages qui puissent être infligés à une mère, est le revers de sa vie de reine.