À la suite d'un geste violent, lors d'un affrontement avec elle, ma femme, Angie, est tombée. Elle est morte sur le coup. Elle était riche et américaine, moi, l'ingénieur français, je ne possédais rien. Mais j'étais son héritier. Affolé, je savais que personne ne croirait à un accident. J'ai enterré Angie, puis inventé sa mort au Kenya où nous devions partir le lendemain. J'ai réussi à camoufler un homicide involontaire en un crime parfait. Mais j'ai reçu ce matin le premier avertissement d'un maître chanteur. On me tient. Je dois donc partir pour le Kenya pour y bâtir un alibi et justifier chaque minute que j'aurais passée là-bas avec Angie. Je joue ma vie...